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J. : "Alors, comment sont ces hot-dogs ?"
C. : "C'est très bon je vous remercie."
En le voyant, j'ai pensé à Susnika (la kinda) et j'ai voulu lui poser des questions qui me turlupinaient.
C. : "Euh...comment dire. Est-ce que je pourrais devenir Kinda, un jour ?"
J. : "Cela ne dépend pas que de moi. Mais je ne pense pas que vous ayez le profil pour chanter des chansons mielleuses."
C. : "*lol* Votre fille est Kinda !"
J. : "Et ?"
C. : "Vous pensez que ces chansons sont mieilleuses ?"
J. : "Je n'ai pas dit que mieilleux était péjoratif. En plus, on peut être producteur et avoir des goûts musicaux ! On est comme tout le monde. Mais je ne produit pas de Kinda, sauf Ayumi, mais c'est plus une idole à part entière qu'un "type", vous voyez ?"
En effet, je n'avais pas penser qu'un producteur songe à autre chose qu'aux profits musicaux...
C. : "Oui, je vois. Mais est-ce facile d'être chanteuse quand son père est producteur ?"
J. : "C'est aussi facile que si l'on en avait pas..."